Ces Cochenilles semblent appartenir à l’espèce fr:Pulvinaria hydrangeae qu’on trouve de plus en plus couramment sur les feuille de Tilleuls urbains. La cochenille est un insecte fr:homoptère parasite " piqueur suceur " et qui se nourrit de la sève de la plante hôte. La photographie montre des femelles en cours de reproduction. Leur corps protégé par une petite carapace brune est prolongé par un ovisac blanc plus gros qu’elles, contenant plusieurs centaine d'œufs. L’ovisac est constitué d’une ouate filamenteuse constituée de fils de cire blanche. Il a un aspect cannelé. Les femelles meurent après la ponte.

Google translation - These scale insects seem to belong to the species en: Pulvinaria Hydrangeae found more commonly on urban lime leaves. Cochineal is an insect en: parasite homopteran "sucker Breakers" that feeds on the sap of the host plant. The photograph shows the female during reproduction. Their body protected by a small brown shell is extended by a large white egg sac that contains several hundred eggs. The ovisac consists of a filamentous wadding made of white wax strands. It has a grooved appearance. Females die after spawning. Richard Avery (overleg) 13:55, 19 October 2016 (UTC)

La photo a été faite à Lille, 29 juillet 2006 par F Lamiot ,après quelques semaines très chaudes suivant une période inhabituellement froide, dans une ville et un quartier pauvre en espaces verts et aux micro-climats très perturbés par l’imperméabilisation et la dévégétalisation. De nombreux tilleuls sont affectés. Le plus souvent il s’agit d’arbres d’alignements, ou plantés sur des squares ou à proximité de routes. Les tilleuls des grands espaces boisés semblent épargnés. (Deux autres cochenilles ; Pulvinaria regalis, espèce voisine et Chionaspis salicis peuvent aussi attaquer les Tilleuls, mais se développent sur les branches)

Les cochenilles produisent un miellat qui attire certains insectes, notamment les abeilles là où elles survivent encore, et surtout des fourmis qui pourraient les protéger de certains prédateurs en échange de leur miellat. Le miellat, substances collante et sucrée favorise la fumagine (champignon microscopique qui, en opacifiant les feuilles, dégrade leur fonction chlorophyllienne). C’est une des raisons qui font que les arbres urbains produisent moins d'oxygène (jusqu’à 20 % de moins), bien qu’ayant des feuilles plus longtemps dans l’année (pour les arbres à feuilles caduques).