Université de Tours

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Université de Tours
Histoire
Fondation
Statut
Type
Forme juridique
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom officiel
Université de Tours
Régime linguistique
Président
Arnaud Giacometti
Membre de
Site web
Chiffres-clés
Étudiants
30 358 (2018-2019)
Enseignants-chercheurs
1 201 (2016-2017)
Budget
207,5 millions d'euros (2016-2017)
Localisation
Pays
Campus
Ville

L’université de Tours[1] est une université pluridisciplinaire française située à Tours.

Elle prend la dénomination d'université de Tours, lors du CA du , en lieu et place de l’université François-Rabelais. Il s'agit de la plus grande université de la région Centre-Val de Loire.

Histoire[modifier | modifier le code]

Création[modifier | modifier le code]

L'université de Tours est créée en 1971, conformément à la loi Faure qui — après les évènements de 1968 — veut moderniser et démocratiser les structures de l'enseignement supérieur. Elle regroupe les établissements d'enseignement supérieur qui existent à ce moment-là[2].

Avant la création de l'académie d’Orléans-Tours (1961), il n’y avait pas de faculté à Tours. Existaient seulement un Centre d'études supérieures de la Renaissance (dépendant de la faculté des lettres de Poitiers) et une « École de médecine ». Cette dernière est transformée en Faculté de Médecine-Pharmacie et le ministère crée une Faculté des Lettres et Sciences humaines et un Collège scientifique universitaire. Puis, en , un Institut universitaire de technologie ouvre avec ses deux premières formations, expérimentales, « Carrières de l'information » et « Carrières sociales ». Il existait également un Collège universitaire de droit et des sciences économiques dépendant de l'université d'Orléans[3].

L'ensemble des locaux sont soit des installations provisoires dans des locaux anciens, soit des constructions provisoires. Le premier bâtiment neuf réalisé est l'IUT à Tours-Nord en 1969/1970. Il sera complété sur le même site d'un bâtiment spécifique pour la biologie en 1972. Puis vient, au bord de la Loire, la « faculté des Lettres » en 1971/1972 qui accueille les trois unités d'enseignement et de recherche (UER) (anglais, lettres, sciences humaines), nées à l'occasion de la création de l'université.

Développements[modifier | modifier le code]

En 1995, est inaugurée, en la présence de François Fillon, alors ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, la nouvelle faculté d'économie et de sciences sociales sur le campus des Deux-Lions[4].

À partir de 2004, l'université se rapproche de l'université d'Orléans avec la constitution du pôle universitaire Centre Val-de-Loire (association loi de 1901).

En , elle devient membre fondatrice avec cette dernière de Centre - Val de Loire Université, un pôle de recherche et d'enseignement supérieur.

En 2009, elle devient une université autonome au sens de la loi relative aux libertés et responsabilités des universités.

En 2012, elle signe un nouveau contrat avec le ministère dans lequel elle s'envisage comme une université à dimension européenne, elle met l'accent sur le renforcement de son attractivité à l'international, ce qui se traduit la même année par la mise en ligne d'un portail international ad-hoc.

En , elle est rebaptisée « université de Tours » et adopte au début de l'année suivante un nouveau logo[5].

En septembre 2022, l’IAE devient une composante à part entière. Douzième composante de l’université, la faculté d’odontologie de Tours ouvre également ses portes à la rentrée 2022 et accueille une première promotion de 28 étudiants, pour les conduire au titre de docteur en chirurgie dentaire au terme de six années d'études.

Organisation[modifier | modifier le code]

Site Portalis - UFR Droit, Économie et Sciences sociales - Bâtiment B.

L'université est présidée par Arnaud Giacometti, élu en 2020 pour un mandat de cinq ans. Il est épaulé de 17 vice-présidents. L'établissement dispose en 2023 d'un budget de 240 millions d'euros. Conformément au Code de l'éducation qui fixe l'organisation légale des universités publiques en France, l'université de Tours se découpe en plusieurs composantes. On trouve huit unités de formation et de recherche (UFR), une École polytechnique universitaire d'ingénieurs (Polytech'Tours), une école universitaire de management (IAE Tours Val de Loire) et deux instituts universitaires de technologie (IUT). Ainsi, l'université est structurée de la manière suivante[6] :

  • UFR d’arts et de sciences humaines ;
  • UFR de droit, d’économie et des sciences sociales ;
  • UFR Centre d’études supérieurs de la Renaissance ;
  • UFR de médecine ;
  • UFR d'odontologie ;
  • UFR de sciences et techniques ;
  • UFR de sciences pharmaceutiques ;
  • UFR de lettres et langues ;
  • École polytechnique de l'université de Tours.
  • École universitaire de management (IAE Tours Val de Loire)
  • Institut universitaire de technologie de Tours ;
  • Institut universitaire de technologie de Blois ;
Site de Grandmont - UFR Pharmacie - Bâtiment Y.

Depuis 2002, les Presses universitaires François-Rabelais (PUFR) forment un service commun de l’université. Elles promeuvent des travaux scientifiques à destination des spécialistes et des amateurs curieux. Le service commun de documentation (SCD) rassemble les différentes ressources documentaires de l'université. Il est composé de six bibliothèques : droit, sciences économiques - géographie, lettres - langues - arts - sciences humaines, médecine, sciences - pharmacie, Blois et le centre de documentation de l'IUT de Tours (intégré en )[pas clair]. Il regroupe aussi 14 bibliothèques associées aux départements, laboratoires et centres de recherches spécialisés : Centre d'enseignement supérieur de la Renaissance (CESR), Institut européen d'histoire et des cultures de l'alimentation (IEHCA).

Campus[modifier | modifier le code]

Site Béranger - Presses universitaires François Rabelais (PUFR) et SUIO.

L'université de Tours est multi-sites. Ainsi, ses composantes sont implantées sur l'ensemble de la ville de Tours sur une surface bâtie de 220 000 m2. Les 30 000 étudiants en sont répartis sur 6 campus principaux :

  • Tonnellé (médecine)
  • Site La Riche - bâtiment Gouazé (médecine)
  • Portalis (école d'ingénieurs, droit, économie, géographie, AES)
  • Grandmont (sciences, pharmacie, IUT GEII)
  • Tanneurs (lettres et langues, arts et sciences humaines)
  • Pont-Volant (Institut universitaire de technologie)
  • Plat d’Étain (administrations et présidences)
Site Lesseps - Polytech' Tours - Bâtiment du département Aménagement.

Il existe également des sites de taille plus modeste dans le centre de Tours tels que le site de musicologie et le site Fromont qui comporte notamment un centre d'accueil pour les étudiants étrangers. Deux anciennes casernes, auparavant occupées par l'École d'application du train, abritent les services de la présidence de l’université. De plus, l'université a une antenne à Blois où se trouve une partie de la filière informatique, un département de droit  et l'IUT de Blois.

Formation et recherche[modifier | modifier le code]

Formation[modifier | modifier le code]

Les filières universitaires générales de l'université sont organisées selon le principe de la réforme LMD, soit licence, master et doctorat. L'université propose également des bachelors universitaire de technologie par le biais des deux IUT qui lui sont rattachées.

Tous les grands domaines de formation sont présents dans cette université pluridisciplinaire, tels que les arts, les métiers du spectacle et de la culture, le droit, l'économie, la gestion, le commerce, les lettres, la linguistique, les langues, les métiers de l'enseignement, les Sciences humaines et sociales, l'Archéologie, les sciences de la vie, les sciences de la santé, les sciences et techniques. Ils permettent de s'orienter aussi bien vers des spécificités professionnelles (diplômes de licence professionnelle, master professionnel, d'ingénieur) que vers le monde de la recherche.

Voir aussi quelques écoles, centres et instituts :

L'institut d'administration des entreprises (IAE) de Tours est l'École universitaire de management de l'université de Tours, spécialisée en gestion, sa première certification a été délivrée en 2007. Il est situé au sein des locaux de cette faculté dans le récent quartier des Deux-Lions au sud de la ville. Il fait partie du réseau des IAE[7],[8].

Écoles doctorales[modifier | modifier le code]

La bibliothèque universitaire (BU) de la faculté.

L'université propose 5 écoles qui s'occupent de la formation scientifique des futurs docteurs, et sont chargées de soutenir leur projet de carrière.

  • École doctorale « Santé, sciences biologiques et chimie du vivant »
  • École doctorale « Énergie, matériaux, sciences de la Terre et de l'univers »
  • École doctorale « Sciences de l'homme et de la société »
  • École doctorale « Mathématiques, informatique, physique théorique et ingénierie des systèmes »
  • École doctorale « Humanités et Langues »

Recherche[modifier | modifier le code]

Le bâtiment D de la faculté des Deux-Lions, réservé aux masters.

Premier opérateur de recherche en région Centre-Val de Loire, la recherche à l'université de Tours est reconnue internationalement. Elle couvre l'ensemble des disciplines présentes dans les UFR à savoir :

  • Imagerie et cerveau
  • Cancérologie
  • Infectiologie
  • Biologie de la reproduction et des comportements
  • Biologie de l'insecte
  • Matériaux et énergie
  • Informatique
  • Mathématiques et physique théorique
  • Villes, territoires et sociétés
  • Renaissance
  • Droit et sciences de gestion
  • Sciences humaines
  • Lettres et langues
Jardin participatif, sur le site des Tanneurs, en 2017.
Le centre de recherche CERTEM.

La recherche à l'université est à la pointe en sciences sociales et humaines dans l'étude de la Renaissance depuis 1956 et dans les connaissances du patrimoine alimentaire par le biais d'un programme ambitieux de recherche à l'Institut européen d'histoire et des cultures de l'alimentation. L'université de Tours se distingue aussi dans le domaine des matériaux pour l'énergie avec la recherche technologique sur les microélectroniques au CERTEM en collaboration avec STMicroelectronics depuis 1996. La recherche s'étend aussi dans le domaine de l'imagerie médicale, des bio-médicaments, de la cancérologie, et plus spécifiquement dans l'étude de l'autisme en partenariat avec l'Inserm. L'étude de la biologie de l'insecte est étudiée tant d'un point de vue environnemental que biologique. Depuis 1969, un thème de recherche s'est développée autour du domaine des villes, des territoires et des sociétés. L'université de Tours est aussi investie dans la recherche en mathématiques et physique théorique. Enfin, elle développe des projets de recherche dans le domaine du design sensoriel.

L'université de Tours affirme sa présence à l'international en Amérique du Nord (Birmingham, Détroit, Montréal, Québec, etc.), en Amérique du Sud (Bahia, Brasilia, Lima, etc.), en Afrique (Ouagadougou, Saint-Louis, Lomé, Tunis, etc.), en Asie (Pékin, Wuhan, Séoul, Chennai, Beyrouth, etc.), et en Océanie (Melbourne, Sydney, etc.).


En matière de recherche, l’université de Tours a bâti un projet commun, avec l’université d’Orléans et l’INSA Centre-Val de Loire, au service des étudiants et de la recherche en région Centre-Val de Loire : le Pôle Universitaire Centre-Val de Loire. Avec ce projet, les acteurs de l’ESR de la région souhaitent renforcer leur collaboration.

Depuis 2017, l’ensemble des parties prenantes se réunit au sein du Comité d’Orientation Stratégique régional Enseignement Supérieur, Recherche et Innovation (COS ESRI). Celui-ci a entre autres la volonté et l’ambition d’œuvrer à la visibilité et à la valorisation des actions et des projets relatifs à la recherche, à l'innovation et à la valorisation en région.

Depuis juillet 2023, l’université de Tours est membre d’une alliance d’universités européennes : le consortium NEOLAiA, labellisé par la Commission européenne, dont la devise est « Transformons nos Régions pour une Europe inclusive ». NEOLAiA bénéficiera d’un budget de 14,4 millions d’euros, dont 1,6 million pour l’université de Tours, pour une durée de quatre ans.

NEOLAiA est composé de neuf jeunes universités européennes : l'université d'Ostrava (République Tchèque), l'université Stefan cel Mare de Suceava (Roumanie), l'université de Bielefeld (Allemagne), l'université d'État des sciences appliquées de Siauliai (Lituanie), l'université d'Örebro (Suède), l'université de Salerne (Italie), l'université de Tours (France), l'université de Nicosie (Chypre) et l'université de Jaén (Espagne), qui est la coordinatrice. Il s'agit d’universités de taille moyenne, engagées dans leur environnement social et économique, qui occupent une place importante dans les classements. L'objectif de NEOLAiA est d'avoir un impact durable sur la stratégie et la structure des universités.

Identité visuelle[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à l'université[modifier | modifier le code]

Enseignants[modifier | modifier le code]

Étudiants[modifier | modifier le code]

Présidents de l'université[modifier | modifier le code]

Site des Tanneurs - UFR Lettres et Langues - Bâtiment 1.

Michel Trochu, professeur de droit, préside en 1970-1971 l'assemblée constitutive, préalable à la mise en place des institutions de l'université de Tours.

Liste des derniers Présidents
Mandats Nom Qualité Discipline
1971 à 1973 Jacques Body Professeur des universités Littérature
1973 à 1976 Bernard Chevalier Professeur des universités Histoire
1976 à 1982 Marc Maillet Professeur des universités Biologie
1982 à 1983 Paul Bachelard Professeur des universités Géographie
1983 à 1988 Michel Lécureuil Professeur des universités Pharmacie
1988 à 1993 Jean Germain Maître de Conférences Droit
1993 à 1998 Henri Mouray Professeur des universités Médecine
1998 à 2003 Jacques Gautron Professeur des universités Physique
2003 à 2008 Michel Lussault Professeur des universités Géographie
2008 à 2016 Loïc Vaillant[9],[10] Professeur des universités Médecine
2016 à 2020 Philippe Vendrix Directeur de recherche (CNRS) Musicologie
depuis 2020 Arnaud Giacometti Professeur des universités Informatique

Vie étudiante[modifier | modifier le code]

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

Le service des sports de l'université de Tours propose des activités en guise de loisir et/ou des activités d'unité d'enseignement.

Une salle de spectacle est à disposition des associations étudiantes. La salle Thélème, disposant de 600 places, accueille des représentations théâtrales, des galas de danse, des projections cinématographiques, etc.

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

Évolution démographique de la population universitaire
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007
22 769[11]21 853[12]22 068[13]22 034[14]22 025[15]22 383[16]22 095[17]21 229[18]
2008 2009 2010 2011 2015 2017 2018 2019
20 555[19]21 257[20]21 855[21]22 54925 056[22]27 280[23]26 126[24]26 616[25]
2020 2021 - - - - - -
27 152[26]27 388[27]------

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Décret n°2000-250 du 15 mars 2000 portant classification d’établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel
  2. « Notre histoire »
  3. « Création d'un Collège universitaire de droit et des sciences économiques », BBF, 1969, no 5, pp. 233-233, consulté sur bbf.enssib.fr le 26 février 2011
  4. « 1995 : inauguration de la nouvelle faculté d'économie et de sciences sociales », sur lanouvellerepublique.fr (consulté le )
  5. « Un nouveau look pour l'université de Tours », La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎ (lire en ligne).
  6. « Le fonctionnement de l'université en quelques mots »
  7. « Nouvelle direction à l'IAE de Tours au 1er septembre 2014 », sur http://www.iae.univ-tours.fr, (consulté le )
  8. « IAE de Tours Master 2 Marketing des Services », sur Eduniversal -, (consulté le )
  9. « 2008 : Loïc Vaillant est élu président de l'université », La Nouvelle République du Centre-Ouest, 9 octobre 2010, consulté sur www.lanouvellerepublique.fr le 10 novembre 2010
  10. « Loïc Vaillant réélu président », La Nouvelle République du Centre-Ouest, 15 mai 2012
  11. Jean-Richard Cytermann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2001, Imprimerie nationale, p. 161, (ISBN 2-11-092136-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  12. Jean-Richard Cytermann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2002, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-092152-8), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  13. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2003, Imprimerie nationale, p. 155, (ISBN 2-11-093455-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  14. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2004, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-094345-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  15. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2005, Imprimerie nationale, p. 175, (ISBN 2-11-095390 X), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  16. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2006, Imprimerie nationale, p. 179, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  17. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2007, Imprimerie nationale, p. 181, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  18. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2008, Imprimerie nationale, p. 173, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  19. Daniel Vitry, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2009, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097805-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  20. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2010, Imprimerie moderne de l’Est, p. 173, (ISBN 978-2-11-097819-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 17 septembre 2010
  21. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2011, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097810-3), consulté sur www.education.gouv.fr le 2 septembre 2011
  22. L’université de Tours lance ses grands travaux sur 37degres-mag.fr
  23. En 2016-2017, 27 280 étudiants à l'université de Tours sur univ-tours.fr
  24. Fabienne Rosenwald (dir.), Repères & références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche. Édition 2019, Paris, MENJ/MESRI, coll. « RERS », (ISBN 978-2-11-155474-0, lire en ligne), p. 165.
  25. Fabienne Rosenwald (dir.), Repères et références statistiques. Enseignement, formation, recherche. 2020, Paris, MENJ/MESRI, coll. « RERS », (ISBN 978-2-11-162253-1, lire en ligne), p. 161.
  26. Fabienne Rosenwald (dir.), Repères et références statistiques. Enseignement, formation, recherche. 2021, Paris, MENJ/MESRI, coll. « RERS », (ISBN 978-2-11-162562-4, lire en ligne), p. 161.
  27. Fabienne Rosenwald (dir.), Repères et références statistiques. Enseignements, formation, recherche. 2022, Paris, MENJ/MESRI, coll. « RERS », (ISBN 978-2-11-162578-5, lire en ligne), p. 165.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]